La cartographie officielle, qu’elle soit nationale, institutionnelle ou corporative, a historiquement opéré des formes de violence en imposant les valeurs dominantes d’une société sur un territoire (Harley, 1989; Rüeck, 2014). Loin de se limiter au seul espace géographique, la cartographie a participé à l’étouffement et au contrôle de communautés, de cultures et de lieux.
